Spécialités: Thérapies Ciblées - Le promoteur: Incyte
Incyte MAJ Il y a 4 ans

Étude INCB 54828-203 : étude de phase 2 évaluant l’efficacité et la sécurité du pemigatinib chez des patients ayant un néoplasme myéloïde ou lymphoïde avec une mutation de type FGFR1. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Le tumeur myéloïde ou lymphoïde associé au réarrangement de FGFR1 est une maladie maligne rare caractérisée par la prolifération incontrôlée de précurseurs des myéloïdes et / ou lymphoïdes (c’est-à-dire des globules rouges et des globules blanc) possédant des mutations du gène FGFR1, dans le sang, la moelle osseuse et bien d'autres tissus lymphoïdes comme la rate, le foie, les ganglions lymphatiques, le sein, etc.). Plusieurs traitements peuvent être envisagés selon le type de tumeur et l’état du patient notamment la chirurgie, la chimiothérapie, la greffe de cellules souches ou la thérapie ciblée qui s’attaque à des vulnérabilités spécifiques des cellules cancéreuses comme au récepteur du facteur de croissance des fibroblastes (FGFR). C’est une famille de récepteurs très présents dans de nombreux types de cellules tumorales, qui joue un rôle clé dans la prolifération cellulaire, la migration et la survie des cellules cancéreuses. Le pemigatinib est un inhibiteur du récepteur FGFR1, ayant une activité anticancéreuse potentielle par inhibition de la prolifération des cellules tumorales surexprimant FGFR1. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité du pemigatinib chez des patients ayant un néoplasme myéloïde ou lymphoïde avec une mutation de type FGFR1. Les patients recevront du pemigatinib 1 fois par jour en continu. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 2 ans après le début du traitement.

Essai ouvert aux inclusions
Incyte MAJ Il y a 4 ans

Étude FIGHT-202 : étude de phase 2 évaluant l’efficacité du pemigatinib chez des patients ayant un cholangiocarcinome avancé/métastatique ou non résécable, précédemment traités, en échec et présentant une translocation FGFR2. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Le cholangiocarcinome correspond à un cancer des voies biliaires. Il représente près de 3 % des cancers gastro-intestinaux et environ 10 à 15 % des tumeurs malignes hépato-biliaires. Il touche l'épithélium de l'arbre biliaire intra ou extra hépatique c'est à dire le tissu formant l'ensemble des canaux collectant la bile. La cause exacte du cancer des voies biliaires est, à ce jour, encore inconnue par contre des facteurs de risque sont mieux connus. Le cancer ou tumeur provient de mutations de l’ADN au sein des cellules ; ce qui entraînent un développement accru et un accroissement incontrôlé des cellules. Le récepteur du facteur de croissance des fibroblastes (FGFR), est une famille de récepteurs très présents dans de nombreux types de cellules tumorales. Il joue un rôle clé dans la prolifération cellulaire, la migration et la survie des cellules cancéreuses. Le traitement proposé dépend des symptômes ainsi que de l'état d'avancement du cancer. Il s’agit généralement de la chirurgie et / ou de la chimiothérapie. A un stade plus avancé les thérapies ciblées sont associées à l’arsenal thérapeutique. Le pemigatinib est un inhibiteur du récepteur FGFR 2, ayant une activité anticancéreuse potentielle. Il inhibe, la prolifération des cellules tumorales surexprimant FGFR2. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du pemigatinib chez des patients ayant un cholangiocarcinome avancé/métastatique ou non résécable, précédemment traités, en échec et présentant une translocation FGFR2. Les patients seront répartis en 3 groupes selon le type de mutation du gène FGF/FGFR2. Tous les patients recevront du pemigatinib 1 fois par jour pendant 2 semaines suivi d’une semaine de repos. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus pour des examens biologiques et radiologiques toutes les 6 semaines puis toutes les 9 semaines. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 6 mois après le début de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
Incyte MAJ Il y a 4 ans

Étude INCB-62079-101 : étude de phase 1 évaluant la sécurité et la tolérance de l’INCB062079 chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire, un cholangiocarcinome, un cancer de l’oesophage, un cancer du nasopharynx, un cancer séreux de l’ovaire ou autres tumeurs solides. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes), comme par exemple le cancer du sein) et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules de tissu conjonctif, comme par exemple le cancer des os. L’INCB062079 est une nouvelle molécule inhibant des facteurs qui stimulent la prolifération tumorale et qui sont plus abondants dans certaines tumeurs. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance de l’INCB062079 chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire, un cholangiocarcinome, un cancer de l’oesophage, un cancer du nasopharynx, un cancer séreux de l’ovaire ou autres tumeurs solides. L’étude sera divisée en 2 parties. Pendant la 1ère partie, les patients recevront de l’INCB062079 en escalade de dose jusqu’à détermination de la dose recommandée, la progression ou intolérance au traitement. La dose de traitement sera progressivement augmentée afin de déterminer la dose recommandée à administrer. Pendant la 2ème partie, les patients seront répartis en 3 groupes selon leur pathologie et recevront de l’INCB062079 à la dose recommandée déterminée lors de la première partie jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 6 mois maximum.

Essai ouvert aux inclusions
Incyte MAJ Il y a 4 ans

Étude INCB39110-206 : étude de phase 1-2 évaluant la tolérance et l’efficacité de l’itacitinib associé à l’ibrutinib chez des patients ayant un lymphome diffus à grandes cellules B, en rechute ou réfractaire. [essai clos aux inclusions] Le lymphome diffus à grandes cellules B est le type de lymphome non hodgkinien le plus courant, caractérisé, par des cellules qui semblent très grosses comparativement aux lymphocytes normaux. En général, le lymphome diffus à grandes cellules B prend naissance dans les ganglions lymphatiques, mais il peut aussi le faire dans des organes ou des tissus qui se trouvent à l’extérieur des ganglions lymphatiques comme par exemple les os, le système nerveux central, le tube digestif, le sinus. Dans 30 à 40 % des cas, le lymphome diffus à grandes cellules B est localisé (stade 1 ou 2) quand on le diagnostique et dans le reste des cas il s’est répandu, ce qui signifie qu’il s'est propagé aux ganglions lymphatiques situés au-dessus et en dessous du diaphragme ou à différentes parties du corps, comme la rate, le foie ou la moelle osseuse. Le traitement de référence du lymphome diffus à grandes cellules B est la chimiothérapie. Il est possible que le lymphome diffus à grandes cellules B récidive après qu’on ait administré les premières séances de traitement. Les traitements possibles sont alors les thérapies ciblées, la radiothérapie, la greffe de cellules souches et l’immunothérapie. L’itacitinib est un inhibiteur de l’enzyme JAK1. Il possède des activités anticancéreuses et immunomodulatrices potentielles, c’est-à-dire qu’il active le système immunitaire. L’ibrutinib est un inhibiteur de l’enzyme BTK. Son action entraine la mort des lymphocyte B mutées responsable du lymphome diffus à grandes cellules B. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et l’efficacité de l’itacitinib associé à l’ibrutinib chez des patients ayant un lymphome diffus à grandes cellules B, en rechute ou réfractaire. L’étude comprendra 2 étapes. Lors de la 1re étape, la dose de l’itacitinib sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à utiliser pour la 2e étape, associé à l’ibrutinib. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2e étape, les patients recevront de l’itacitinib à la dose recommandée établie lors de l’étape 1 associé à de l’ibrutinib. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 6 mois après le début de l’étude.

Essai clos aux inclusions
Incyte MAJ Il y a 4 ans

Étude INCB54828-201 : étude de phase 2 visant à évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi de l’INCB054828 chez des patients ayant un carcinome urothélial métastatique ou localement avancé inopérable porteur d’altérations de la voie FGF/FGFR. Le carcinome urothélial est le type le plus fréquent de cancer de la vessie, il représente plus de 90% de tous les cancers de la vessie. Il peut subvenir dans n’importe quelle partie de l’appareil urinaire (le bassinet du rein, l’uretère, la vessie ou l’urètre). Ce cancer peut être non invasif, affectant uniquement le revêtement de la vessie, ou invasif, s’il envahit d’autres couches de la paroi de la vessie. Lors du diagnostic, 40 à 50% des patients ont une tumeur invasive. Les récepteurs FGFRsont des elements cellulaires qui promeuvent la vascularistation des tumeurs. Ils sont impliqués dans la survie du patient dans certains types de cancer (sein, poumon et estomac) et dans la progression de la maladie pour des tumeurs avec une forte incidence d’altérations de FGFR comme le cancer de la vessie, du sein, du poumon ou de l’estomac. L’utilisation des inhibiteurs spécifiques des récepteurs FGFR tels que l’INCB54828 pourrait avoir une activité antitumorale potentielle, car il a été demontré qu’ils étaient capable d’inhiber la prolifération, la migration et la survie des cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi de l’INCB054828 chez des patients ayant un carcinome urothélial métastatique ou localement avancé inopérable porteur d’altérations de la voie FGF/FGFR. Les patients seront répartis en 2 groupes. Dans le groupe A, seront inclus les patients ayant des mutations ou des fusions de FGFR3. Dans le groupe B, seront inclus les patients ayant autres altérations de FGF/FGFR. Tous les patients recevront de l’INCB054828 par voie orale une fois par jour pendant 2 semaines suivi d’une semaine sans traitement pour chaque cure de 21 jours, jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 30 jours après la dernière dose du traitement de l’étude pour évaluer la sécurité d’emploi de l’INCB0548258. Le statut de la maladie sera évalué toutes les 9 semaines jusqu’au début d’un nouveau traitement anticancéreux, jusqu’à progression de la maladie ou jusqu’à la fin de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
Incyte MAJ Il y a 4 ans

Étude CITADEL-205 : étude de phase 2 comparant l’efficacité et la sécurité de 2 posologies de parsaclisib chez des patients ayant un lymphome du manteau en rechute ou réfractaire et précédemment traité ou non par un inhibiteur de BTK. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Le lymphome à cellules du manteau est un lymphome non hodgkinien à lymphocytes B. Il prend naissance dans le bord externe d'un ganglion lymphatique appelé zone du manteau. Le lymphome à cellules du manteau affecte plus souvent l'homme que la femme. On le diagnostique habituellement au début de la soixantaine. En général, le lymphome à cellules du manteau est diagnostiqué aux stades 3 ou 4. Il s’est souvent propagé à d’autres ganglions lymphatiques, à la moelle osseuse, à la rate et au foie. On l’observe parfois le long du tube digestif. Le lymphome à cellules du manteau peut évoluer lentement (indolent), mais il existe également des variantes qui évoluent rapidement (agressives). Le traitement principal du lymphome à cellules du manteau est la chimiothérapie. On peut avoir recours à d’autres traitements comme le traitement ciblé, la thérapie biologique, la radiothérapie et la greffe de cellules souches. La parsaclisib est un inhibiteur puissant de la phosphatidylinositol 3-kinase delta de nouvelle génération. Cette enzyme est hyperactive dans les tumeurs malignes à cellules B et joue un rôle majeur dans la prolifération, la survie, la migration et la rétention des cellules tumorales dans les tissus lymphoïdes et la moelle osseuse. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la sécurité de 2 posologies de parsaclisib chez des patients ayant un lymphome du manteau en rechute ou réfractaire et précédemment traité ou non par un inhibiteur de BTK. Les patients seront répartis en 2 groupes. Les patients du 1er groupe, précédemment traités par ibrutinib, recevront du parsaclisib. Les patients du 2e groupe, non précédemment traités par un inhibiteur de BTK, recevront du parsaclisib. Les patients seront revus régulièrement pour des examens biologiques et radiologiques. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 26 mois.

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Incyte MAJ Il y a 5 ans

Étude INCB39110-206 : étude de phase 1-2 évaluant la tolérance et l’efficacité de l’itacitinib associé à l’ibrutinib chez des patients ayant un lymphome diffus à grandes cellules B, en rechute ou réfractaire. Le lymphome diffus à grandes cellules B est le type de lymphome non hodgkinien le plus courant, caractérisé, par des cellules qui semblent très grosses comparativement aux lymphocytes normaux. En général, le lymphome diffus à grandes cellules B prend naissance dans les ganglions lymphatiques, mais il peut aussi le faire dans des organes ou des tissus qui se trouvent à l’extérieur des ganglions lymphatiques comme par exemple les os, le système nerveux central, le tube digestif, le sinus. Dans 30 à 40 % des cas, le lymphome diffus à grandes cellules B est localisé (stade 1 ou 2) quand on le diagnostique et dans le reste des cas il s’est répandu, ce qui signifie qu’il s'est propagé aux ganglions lymphatiques situés au-dessus et en dessous du diaphragme ou à différentes parties du corps, comme la rate, le foie ou la moelle osseuse. Le traitement de référence du lymphome diffus à grandes cellules B est la chimiothérapie. Il est possible que le lymphome diffus à grandes cellules B récidive après qu’on ait administré les premières séances de traitement. Les traitements possibles sont alors les thérapies ciblées, la radiothérapie, la greffe de cellules souches et l’immunothérapie. L’itacitinib est un inhibiteur de l’enzyme JAK1. Il possède des activités anticancéreuses et immunomodulatrices potentielles, c’est-à-dire qu’il active le système immunitaire. L’ibrutinib est un inhibiteur de l’enzyme BTK. Son action entraine la mort des lymphocyte B mutées responsable du lymphome diffus à grandes cellules B. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et l’efficacité de l’itacitinib associé à l’ibrutinib chez des patients ayant un lymphome diffus à grandes cellules B, en rechute ou réfractaire. L’étude comprendra 2 étapes. Lors de la 1re étape, la dose de l’itacitinib sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à utiliser pour la 2e étape, associé à l’ibrutinib. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2e étape, les patients recevront de l’itacitinib à la dose recommandée établie lors de l’étape 1 associé à de l’ibrutinib. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 6 mois après le début de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions